Un Talan chez Bouygues Telecom - Stratégie Informatique
Talan et le « 4L Trophy » :
Vincent Loisy témoigne
1. Bonjour Vincent. De quelle manière as-tu intégré l'ENSAM, pour quelles raisons et que pensais-tu y découvrir ?
J’ai intégré l’ENSAM après une classe préparatoire TSI qui suivait un bac STI Génie Mécanique option Productique. Le choix de l’école s’est fait sur sa bonne réputation auprès des entreprises et sur l’éclectisme de son enseignement, qui m’a permis durant mon cursus de satisfaire ma curiosité sur les sujets très variés, comme l’acoustique, la mécanique des fluides ou encore la psychologie. J’ai notamment fait un projet de Dominante au sein du pôle électricité, un PFE en programmation PHP pour le Réseau n+i, ainsi qu’un stage long à
Ceci allié à une vie associative bien remplie est à mon sens très formateur en matière d’adaptabilité et d’ouverture d’esprit.
2. Pour quelles raisons as-tu choisi de travailler chez TALAN ?
J’ai d’abord choisi le secteur des systèmes d’information, qui, s’il est encore un débouché minoritaire à la sortie de l’ENSAM, est en pleine croissance. Devenir consultant, ensuite, était le plus sûr moyen d’avoir une vie professionnelle riche, car structurée en missions. Le choix de TALAN, enfin, s’est fait sur le dynamisme d’une équipe qui a su, dès les premières rencontres, faire partager son enthousiasme vis-à-vis d’un modèle de fonctionnement basé sur la transparence et l’esprit d’équipe.
Dans cette société à dimension humaine, la solidarité est une valeur fondamentale, que je doutais de retrouver ailleurs.
3. Pourrais-tu nous parler des missions qui t'ont été confiées ?
Depuis mes débuts, en mai 2005, je travaille chez Bouygues Telecom, dans un pôle nommé SPI (pour Stratégie Planification Informatique), une entité transverse qui travaille à l’urbanisation du système d’information. J’évolue sur des missions alternant entre architecture de distribution de données et modélisation. La maîtrise du système d’information est un enjeu fondamental pour une société de télécommunication, et des pôles comme SPI sont les garants de la cohérence des échanges entre les différents composants du SI.
Ces missions ont une dimension humaine importante du fait du nombre d’acteurs impactés et une importance réelle pour la bonne marche de l’entreprise. Il est très gratifiant et enrichissant de travailler sur des projets de cette ampleur dès sa sortie de l’école.
4. Pour de futurs diplômés Gadz’Arts, TALAN est-il selon toi une entreprise idéale donnant sa chance aux jeunes ? Pour quelles raisons ?
Alors qu’on a, à tord, tendance à associer l’ingénieur Arts et Métiers à l’industrie, le pragmatisme de son approche, hérité d’un enseignement varié et d’une vie associative dynamique, est une véritable richesse dans le milieu des Systèmes d’Information. Je crois que TALAN est une entreprise qui l’a compris et qui sait faire confiance aux jeunes Gadz’Arts dans des missions de premier plan tout en leur offrant, via leur hiérarchie, un support de connaissance de qualité.
Pour toutes ces raisons, s’il y a une entreprise idéale pour un Gadz’Arts fraîchement diplômé, je pense qu’elle ressemble à TALAN.
5. Que penses-tu du partenariat entre Talan et un équipage de Gadz' pour ce raid ?
Je suis ravi de voir l’enthousiasme partagé de l’équipage et de TALAN pour ce projet. J’espère que le dynamisme des débuts sera intact à la fin de l’aventure et que les couleurs des Arts et Métiers et de TALAN soient portées haut.
Alors : T’as l’envie, t’as l’ambition, Talan est là ! … pour toi ?
Vincent LOISY - Cluny 201